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Montgolfières

Après quelques coups de brûleur, la montgolfière est redressée. 

Vérification du fonctionnement de la soupape.

Contrôle de l'intérieur, inspection de l'enveloppe et de l'ensemble du matériel.

Le coupe-vent ( ou jupe ) sous la bouche de la montgolfière est résistant aux fortes températures.

Voir la cordelette de commande de la soupape de couleur rouge qui arrive jusqu'à la nacelle.

 

Les passagers sont invités à monter dans la nacelle.

Encore quelques coups de brûleur, pour maintenir la montgolfière verticale.

La montgolfière tire vers la haut, au besoin elle est retenue au sol par des coéquipiers surtout si il y a un peu de vent au sol.

 

La montgolfière est libérée avec le crochet largueur par le pilote.

Le brûleur fonctionne pour assurer le décollage.

La montgolfière prend de l'altitude assez rapidement, et le terrain semble descendre sous la nacelle.

L'altimètre à droite indique l'altitude, et le variomètre indique la vitesse de montée ou de descente en mètre par seconde.

Le thermomètre ne fonctionne pas, car les fils électriques de la nacelle vers l'enveloppe ne sont plus adaptés. Le tuyau de gaz arrive à la bouteille.

La navigation consiste à donner des coups de brûleur, pour maintenir l'altitude ou monter et de ralentir le rythme des coups de brûleur pour descendre. A chaque altitude il existe une direction de vent.

 

A chaque coin de la nacelle se trouve une bouteille de PROPANE ou cylindre de 20 à 50kg.

Voir l'indicateur de remplissage et le robinet, ainsi que le raccordement du tuyau de gaz vers le brûleur.

Le changement de bouteille a lieu plusieurs fois pendant le vol, mais il doit rester une réserve suffisante par sécurité.

L'atterrissage est vite envisagé, il faut surveiller le terrain dans la direction du vol et la présence d'obstacles comme les lignes à haute tension, les pylônes, les habitations, usines, forêts, rivières... 

La direction du vent à la surface du sol est différente de celle en altitude. Il faut surveiller la trajectoire en regardant dans la direction du déplacement, évaluer l'angle de descente ainsi que la vitesse de la montgolfière.

Le point d'atterrissage est fixé à l'avance : si possible un chemin ou une route accessible.

Les coups de brûleur sont moins fréquents et la soupape peut évacuer de l'air chaud de façon à diminuer la poussée vers le haut ou force ascensionnelle.

La montgolfière est en phase de descente vers le point de chute fixé. Photo : vue vers l'arrière.

Si le vent au sol n'est pas très fort, l'atterrissage aura toute chance d'être effectué en douceur. Sinon la nacelle sera en glissade sur quelques mètres.

L'altitude diminue rapidement, le point d'atterrissage se rapproche : la route. 

Cette route est barrée par des travaux et la circulation y est nulle : une bonne opportunité. 

 

Plus que quelques dizaines de mètres, l'altitude est de plus en plus faible, la soupape ainsi que le brûleur doivent servir à ajuster la trajectoire. L'objectif, c'est de se poser sur la route : pas avant et pas après !

Cela nécessite une certaine adresse de la part de l'aéronaute qui compte beaucoup d'heures de vol. . 

 

 suite du reportage :

 

©2002 concept par SIECLE21 (F6AGV) toute reproduction autorisée si mention du site. Mise à jour le : 02/10/2009